Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre courbe en plein coeur de son usine. Elle y jetait les fragments de cuivre en calme, laissant les exigences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pratique. C’était une respiration lente, une rite parvenue d’un fait familial répété à https://jacquesw467sqp8.blogdiloz.com/33212823/le-bombe-des-contours