Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre circulaire au coeur de son atelier. Elle y jetait les documents de cuivre en vacarme, donnant les exigences danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une aspiration lente, une habituation apparue d’un geste ancestral répété continuellement. Les https://simonxqgvj.wiki-promo.com/525907/les_lignes_qui_persistent