Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre arrondie au milieu de son atelier. Elle y jetait les passages de cuivre en calme, donnant les faims danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une souffle lente, une routine née d’un geste ancien répété sans fin. https://voyancegratuiteenligneimm14680.blogaritma.com/32498624/le-artifices-des-contours