Florence s’éveillait sous un ciel voilé de cendres. Le Grand Bûcher, consumé simultanément la nuit, laissait à la suite lui une vie recouverte d’un manteau de suie. L’odeur persistante du papier brûlé flottait toujours l’air, rappelant aux habitants la filtrage imposée par l’Inquisition. Mais au-delà des cendres, une rumeur se https://sergiookape.theisblog.com/34051582/l-embrasement-du-destin