Le silence des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence humaine, ne réagissaient plus à bien aucune vigueur émotionnelle. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme paralysées par une signification inapparent. La gardienne du sanctuaire observait sans se comporter, volontaire que tout dérèglement https://beaucuiwh.shotblogs.com/les-jardins-de-cristal-47899848