La nuit s’abattit sur l’île, enveloppant le panorama d’une obscurité dense, rien que brisée par les éclairs qui zébraient le ciel. Frédéric s’était posté traits à la lanterne, creusant le moindre frémissement de journée. Le vent soufflait violemment, arrachant des volutes de démon et de brume qui se mêlaient à https://conneruogvm.blue-blogs.com/41031547/l-île-au-vent-et-à-l-oubli