La nuit s’étirait marqué par une voûte divin stable, enveloppant Sybille dans un silence sérieux. La lune, d’un scintillement surnaturelle, s’accrochait aux nuages épars de façon identique à un phare isolé dans l’infini. Elle avançait via les ruelles désertes, guidée par une loi d'attraction qu’elle ne comprenait pas encore totalement. https://louisqkapf.p2blogs.com/31981009/les-marées-du-destin-selon-voyance-olivier